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Les tatouages de Noël, entre folklore et mythologie

Ahhhh ! La magie de Noël, le sapin, les guirlandes, les petits cadeaux, les crevettes-mayo, le tonton gênant qui ferait passer Tex pour Pierre Desproges... Entre mythologie, folklore et réunion de famille parfois compliquée, Noël offre son lot de réjouissances et parfois de désillusions. Certains ne retiennent que le meilleur et décident ainsi qu’un tatouage autour de cette fête serait de bon aloi. Pourquoi pas, après tout.

Aux origines : une fête païennes

Il faut savoir que Noël est d’abord une fête romaine, celle du « jour de la naissance du Soleil », choisit par l’empereur Aurélien, fixée le lendemain de la fin des Saturnales (fêtes se déroulant une semaine avant le solstice d'hiver) et qui correspond au jour de naissance de la divinité solaire Mithra. On organisait alors déjà des grands repas, échangeait des cadeaux, offrait des figurines aux enfants et on plaçait des plantes vertes dans les maisons (houx, gui et lierre).  La christianisation progressive de la société va, par le biais d’un syncrétisme (fusion de différents cultes ou de doctrines religieuses), avoir pour conséquence la christianisation progressive de ce Noël païen qui deviendra donc la célébration de la naissance de Jésus de Nazareth.

Un folklore réapproprié

Noël se prête donc (historiquement) particulièrement à la réappropriation et si aujourd’hui elle est devenue pour beaucoup le prétexte de se retrouver en famille, d’autres en apprécient particulièrement tout le folklore et/ou la mythologie autour de cette fête souvent liée à l’enfance, quoi de mieux alors qu’un tatouage pour le signifier ?
 

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