Mais qui est Andy Schmidt ?

La première fois que votre site d’informations Tattoos.fr vous parlait d’Andy Schmidt, c’était à l’occasion du cyclone traversé par le tatouage français sur l’interdiction possible des encres couleur – débat dans lequel s’était invité le tatoueur d’outre-Rhin, à travers le DOT, syndicat de tatouage allemand. Aujourd’hui, c’est sur l’artiste international et amoureux de la France que notre équipe vous propose de nous pencher ensemble.

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Andy Schmidt, tatoueur depuis 17 ans

Andy Schmidt, c’est le Andy d’Andy’s Body Electric, studio de tatouage allemand faisant office de véritable référence de l’encrage chez nos amis germaniques. Depuis son fief allemand de Neersen, dans le Land de Nordrhein-Westfalen, l’artiste encre depuis la bagatelle de 17 ans. Son dada ? Le new school, qui lui a permis d’écrire quelques-unes de ses plus belles lettres de noblesse.

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Le studio de tatouage allemand Body Electric

Son studio de tatouage Body Electric, Andy Schmidt l’ouvre en 1996. Non sans une grande fierté : à l’époque, c’est en effet le premier salon de tattoo du district de Viersen. À mesure que les années passent, l’artiste s’entoure : citons, parmi ses acolytes, Andrea, qui brille dans le lettrage, le floral et l’ornemental, ou encore Ramona, cador du tattoo réaliste.

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Un tatoueur allemand francophile

Des couleurs en cascades, une technique irréprochable, un sens aigu de l’affabilité et un look qui ne passe pas inaperçu (moustaches retroussées, barbichette et coiffure impeccablement gominée) : Andy Schmidt, c’est tout cela, mais plus encore ! Francophile à défaut d’être francophone, l’homme a déjà honoré le Festival du Tatouage de Chaudes-Aigues 2014 de sa présence, la Cézanne Tattoo Ink quelques mois plus tard… et pourrait bien boucler la boucle avec le Cantal In’k 2015. Envie de le rencontrer ? Vous savez quoi faire !