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Crock’Ink : l’enseigne tattoo arrive à Bonneuil, dans le Val-de-Marne
Depuis l’ouverture de son premier studio de tatouage à Nancy au mois de juin 2016, la maison Crock’Ink n’a cessé de faire parler d’elle. En bien, voire en très bien. Parmi les universitaires de la ville – et ils sont nombreux –, parmi les touristes venus découvrir la légendaire Place Stanislas, ou parmi les simples badauds du non moins mythique Parc de la Pépinière. Aujourd’hui, la famille Crock’Ink s’est agrandie. Et le nouveau venu a trouvé ses marques 331 kilomètres à l’ouest, à Bonneuil-sur-Marne, commune du département du Val-de-Marne. Tattoos.fr fait les présentations.
Les ingrédients de la recette Crock’Ink
L’envie pour l’équipe Crock’Ink d’ouvrir un deuxième studio de tatouage et de piercing a des origines plurielles. La première est le franc succès rencontré par l’atelier nancéen, en quelques mois d’existence seulement. Bouche-à-oreille louangeur, avis laudatifs et communication quasi quotidienne sur Facebook ont fait de ce modeste shop, une adresse incontournable pour qui songe à se faire encrer ou percer dans la première ville de Meurthe-et-Moselle.
Mika, perceur made in Val-de-Marne
La deuxième, c’est la connaissance que Mika, chef d’orchestre de l’enseigne, a du Val-de-Marne. Normal : il y est né et s’y est forgé, pendant plus de 10 ans à la tête d’un shop, la réputation d’un perceur consciencieux, talentueux et à l’écoute. Il n’en fallait pas plus pour que l’homme se dédouble et décide de partager ses (nombreuses) heures de travail entre la Lorraine et l’Ile-de-France.
Suivre l’actualité de Crock’Ink Bonneuil sur Facebook
Depuis le mois d’avril 2017, vous pouvez donc craquer pour un piercing ou un tattoo à Bonneuil-sur-Marne (94380), en vous rendant du lundi au samedi entre 11h et 19h au 93 avenue de Paris. D’ici là, Tattoos.fr vous invite à visiter le site internet officiel de la boutique et à suivre l’actualité de l’équipe sur leur page Facebook officielle. Quant à nous, c’est promis : dès que Crock’Ink met en pratique l’adage jamais deux sans trois, on vous prévient…