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Sport et tatouage, une histoire d’amour
Le tatouage est une histoire d’amour. Osons l’analogie. Y a une rencontre d’abord, celle entre l’objet passionnel et le passionné : qu’il s’agisse d’un hobby, d’une personne, d’un concept, d’un animal ou que sais-je. Si on pouvait payer un Spritz en terrasse à son tatouage, probablement qu’on ne se priverait pas. Puis y a l’histoire qu’on entretient avec, sur la durée. Parfois la passion s’estompe et on regrette un peu, parfois non… Dans la catégorie objet passionnel, le sport tient une place toute particulière. Si on le pratique, il peut être synonyme d’accomplissement personnel, si au contraire, on le regarde à la télé avec une bière et des chips (au hasard), il peut tout de même être générateur d’émotions fortes, comme les produits laitiers finalement ! Mais les tatouages Bifidus actif restent aujourd’hui moins répandus.
De l’ultra réalisme au tatouage épuré
Un tatoueur excelle particulièrement dans le domaine tatouage et sport, il s’agit de Steve Butcher, néozélandais virtuose du dessin hyper réaliste. Michael Jordan, Kobe Bryant, Mohamed Ali, Richie McCaw, Jonah Lomu et tant d’autres ont été immortalisés sur l’épiderme d’une flopée de tatoués forcément ravis du résultat. D’autres en revanche opteront pour des tatouages hyper simples, très épurés. Une paire de roller, un haltère, un vélo ou un parachute dans le bas des reins renseigne sur la passion de celui qui le porte. Une façon non personnifiée de montrer ce qui nous tient… Deux tatouages, deux ambiances, donc, mais une même passion : le sport !