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L’engouement pour le tatouage à encre blanche
Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’en ce moment, le tatouage à l’encre blanche à la cote ! Conséquence directe et logique de la crise traversée en 2013 par les encres couleur en France ? Pas vraiment, puisque le syndrome est plutôt international. Dernier personnalité en date à avoir succombé à ses charmes : le célèbre mannequin israélien Bar Refaeli. Pour ceux pour qui le tatouage à encre blanche est encore un vaste inconnu, Tattoos.fr vous résume ce qu’il faut savoir à son propos.
Le tatouage à encre blanche : tout nouveau tout beau ?
Malgré une récente couverture médiatique, l’encre blanche de tatouage n’est pas vraiment une nouveauté : à la manière d’un peintre, le professionnel du tattoo l’utilisera pour éclaircir une teinte ou illuminer certaines zones d'une composition. Mais ce n’est que depuis peu que le tatouage à encre blanche a gagné ses lettres de noblesse, se voyant utilisé pour colorer l’intégralité d’un tattoo.
Une sensation de boursouflure qui s’apaise pour laisser place au motif
Passée l’impression de scarification donnée par le nouveau tattoo à encre blanche, celle-ci s’apaise ensuite pour donner une subtile illusion de relief sur la peau. Au final demeure un tatouage à l’image du blanc : discret.
Peut-on parler de tatouage à risque pour le tatouage à encre blanche ?
A ceux qui questionnent déjà la dangerosité du tatouage à encre blanche, les dermatologues se veulent rassurants. C’est le cas du Dr Nicolas Kluger, qui explique : « A moins d'être tatoué sur tout le corps, les quantités [d’aluminium et de dioxyde de titane] présentes sont vraiment minimes. De plus, la concentration des encres fabriquées en Europe est réglementée. A priori, pas de danger donc ».
Le bémol de taille
Seul problème : le tatouage encre blanche n’est possible que sur les peaux claires. Les peaux noires ou mates doivent malheureusement s’attendre à un résultat à la visibilité très limitée.